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ISRAËL - ARABIE SAOUDITE : LE GRAND AMOUR

L'ARABIE SAOUDITE COMPTE SUR ISRAËL
Par Jacques BENILLOUCHE
copyright © Temps et Contretemps
 
 
                      

Roi Salman d'Atabie

 

 

         
 
 
Il est certain qu’Israël n’est plus aujourd’hui le grand Satan, lui qui a de tout temps était confronté au terrorisme, depuis les fameux Fedayin contre lesquels avait combattu Moshé Dayan. Dans le cadre d’une coalition militaire étendue à 44 pays sunnites, l’Arabie saoudite envisage de plus en plus d’intégrer Israël dans son dispositif de défense. Cette évolution a été préparée par le maître espion Yossi Cohen qui vient d’être nommé à la tête du Mossad (l’Institut), le service extérieur des renseignements. 
 
 

03/01/2016
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LE MAROC AU COEUR DE LA LUTTE CONTRE LE DJIHADISME DANS LE MONDE ARABE

Source : le site THE TIMES OF ISRAEL en ligne le mardi 1er octobre 2014

 

Le Maroc, un exemple dans la lutte contre le terrorisme

                    

 

C’est pourquoi, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a toujours tenu à ce que la lutte contre le chômage, le sous-emploi, la pauvreté,  la précarité et l’exclusion soit érigée en priorité absolue dans toutes les politiques sociale.

Cette approche unique en son genre initiée par le Souverain marocain, permet d’anticiper d’éventuelles attaques terroristes mais aussi d’éradiquer ce fléau qui menace la région du Maghreb, l’Afrique et l’Europe.

Une approche novatrice en la matière qui permet la dé-radicalisation et met en exergue la consolidation des acquis démocratiques ainsi que la restructuration du champ religieux dans le but d’assurer la sécurité spirituelle des marocains contre les influences extrémistes totalement étrangères aux spécificités millénaires de l’Islam marocain.

A rappeler que l’Institution de la Commanderie des croyants, incarnée en la personne de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, épargne au Maroc toute surenchère religieuse ; une référence religieuse, basée sur le Rite Malékite et la Doctrine Achaarite puisant dans les vertus de la modération et le juste milieu en toute chose, qui  a de tout temps immunisé le Maroc des courants extrémistes.

Aussi, après avoir interdit aux préposés religieux d’exercer une activité politique ou syndicale ou même de prendre une position à caractère politique ou syndical, le Souverain marocain, en sa qualité de Commandeur des Croyants, les a instruit à respecter les principes de l’école Malékite, de la doctrine Achaarite et les constantes de Nation verrouillant ainsi le discours religieux dans les Mosquées.

Complétant sa ferme détermination à tarir les sources de l’islamisme radical, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a ordonné le 26 septembre 2014 à ses Ministres de l’Intérieur, de l’Economie et des Finances et celui des Habous et Affaires Islamiques de mettre en place une commission permanente chargée du suivi sur l’état des mosquées fermées, leur réfection et leur réouverture.

Une décision qui a pour finalité d’empêcher toute tentative de récupération de ces lieux de prières à des fins politiques, de propagande ou autres.

En conclusion, l’engagement sans faille du Maroc contre le terrorisme en fait un acteur clé en matière de garantie des équilibres régionaux et un partenaire principal mais aussi une référence qui font que de nombreux pays africains et européens ont sollicité du Maroc son expertise et sa coopération. Des demandes qui ont été acceptées par le Souverain marocain.

Le Royaume du Maroc dispose donc d’une stratégie antiterroriste exhaustive qui s’appuie sur des mesures de vigilance et de sécurité, la coopération internationale et des politiques  contre la radicalisation.

 


02/10/2014
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ISRAEL, PAYS DU GOLFE : EN ROUTE VERS UNE ALLIANCE AU PROCHE-ORIENT

 Source : le site THE TIMES OF ISRAEL en ligne le mardi 30 octobre 2014

 

 

 

 

 

Dans un Moyen-Orient déchiré,

Netanyahu s’adresse aux modérés relatifs

 

Pour la première fois, Netanyahu mentionne les Saoudiens et les Emirs comme des partenaires potentiels, tout en cherchant à inverser l’Initiative de paix arabe

 

 

 

 

 

     Raphael Ahren                  

RAPHAEL AHREN 30 septembre 2014, 13:47

correspondant diplomatique du TIMES OF ISRAEL

 

 

 Benjamin Netanyahu (Crédit : Flash 90)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ETAT ISLAMIQUE

Un expert a suggéré que le discours combatif du Premier ministre Benjamin Netanyahu à l’Assemblée générale des Nations unies lundi pourrait être appelé à devenir l’un des plus grands tubes de Bibi ; sauf qu’à la fin il y avait un nouveau couplet.

Le discours comprenait en effet de nombreux arguments et des points de discussion qu’il avait utilisé précédemment: le danger d’un Iran nucléaire, l’utilisation cynique de boucliers humains par le Hamas à Gaza, l’hypocrisie au Conseil des droits de l’homme, et ainsi de suite.

Le Premier ministre a même recyclé certaines phrases qu’il avait employées au cours des dernières semaines, en réitérant son analogie du Hamas et de l’Etat islamique comme « les branches d’un même arbre empoisonné », et affirmant que les nazis croyaient en une race supérieure alors que les militants islamistes pratiquent « une foi supérieure ».

Mais à la fin de son discours, il a changé de rhétorique quand il a tendu la main aux « principaux États dans le monde arabe », suggérant qu’une coopération accrue – et finalement une totale reconnaissance et la paix – pourraient mener à une résolution du conflit israélo-palestinien.

« Je crois que, avec une nouvelle approche de nos voisins, nous pouvons faire avancer la paix, malgré les difficultés que nous rencontrons », a déclaré Netanyahu.

En empruntant une idée avancée récemment par le ministre des Affaires étrangères Avigdor Liberman, Netanyahu a renversé l’Initiative de paix arabe. « Mais l’ancien modèle pour la paix », a-t-il poursuivi, « doit être mis à jour. Il doit prendre en compte les nouvelles réalités, les nouveaux rôles et les responsabilités de nos voisins arabes ».

Lancée par l’Arabie saoudite en 2002, l’Initiative de paix arabe promet à Israël des relations diplomatiques entières avec tous les pays arabes et musulmans dès que son conflit avec les Palestiniens serait résolu.

Lundi, Netanyahu a infirmé la chronologie de cette idée : « Beaucoup ont longtemps cru qu’une paix israélo-palestinienne aiderait à faciliter un plus large rapprochement entre Israël et le monde arabe », a-t-il dit. « Mais ces jours-ci je pense que cela peut fonctionner dans l’autre sens : à savoir qu’un rapprochement plus large entre Israël et le monde arabe peut faciliter une paix israélo-palestinienne. »

Au cours des dernières semaines, Netanyahu a maintes fois fait allusion à un nouvel « horizon diplomatique » avec les Etats arabes modérés.

L’ennemi de mon ennemi peut être mon ami, et de plus en plus d’États arabes sunnites se rendent compte qu’en s’opposant à l’Iran ses ambitions nucléaires et à l’islam radical, ils ont en Israël un partenaire potentiel.

Netanyahu a déclaré plus tôt ce mois-ci, lors d’une conférence de lutte contre le terrorisme que la lutte contre le terrorisme islamiste a conduit à « de nouvelles alliances au Moyen-Orient ».

Les dirigeants arabes comprennent qu’Israël n’est pas leur ennemi mais leur allié dans la lutte contre cet ennemi commun », a-t-il déclaré, ajoutant qu’il croit en « une opportunité pour la coopération et peut-être une chance pour la paix. »

Netanyahu a pour la première fois mentionné lundi par leurs noms ceux qu’il a à l’esprit : « Il faut regarder non seulement à Jérusalem et à Ramallah, mais aussi au Caire, à Amman, à Abu Dhabi, à Riyad et ailleurs », a-t-il dit.

« Je crois que la paix peut être réalisée avec la participation active de pays arabes, ceux qui sont prêts à fournir un soutien politique, matériel et toute autre forme de soutien indispensable. »

Au cours de cette partie de son discours, Netanyahu faisait un peu penser à Shimon Peres, rêvant d’un « nouveau Moyen-Orient. » Avec l’Iran convoitant des armes nucléaires et la l’État islamique décapitatant à tout va pour frayer son chemin à travers l’Irak et la Syrie, ce nouveau Moyen-Orient présente certainement de nouveaux dangers, mais aussi de nouvelles opportunités. Ensemble, nous pouvons renforcer la sécurité régionale. Nous pouvons faire avancer des projets dans les domaines de l’eau, de l’agriculture, du transport, de la santé, de l’énergie, et autres ».

Le défi, a-t-il reconnu, serait de « transformer ces intérêts communs pour créer un partenariat productif. »

Seuls Netanyahu (et une poignée d’autres hauts fonctionnaires) connaissent l’étendue de la coopération israélo-arabe secrète actuelle.

Pourtant, le fait que Jérusalem et plusieurs pays arabes avec lesquels il n’entretient pas de relations diplomatiques officielles collaborent dans plusieurs domaines est le secret le moins bien gardé du Moyen-Orient.

La condamnation du monde arabe sunnite quant à l’opération Bordure protectrice s’est moins faite entendre cet été que lors de conflits antérieurs analogues, apparemment parce que ces pays se rendent compte qu’ils ont avec Israël un ennemi commun : les groupes terroristes islamistes.

Mais il reste difficile à envisager que l’Arabie saoudite, les Émirats Arabes unis, le Koweït et d’autres pays du Golfe soient prêts à sortir de l’ombre et embrasser officiellement Israël avant que le problème palestinien soit résolu.

Des universitaires et des analystes politiques spécialisés dans les pays du Golfe ne distinguent jusqu’à présent, aucune raison de croire qu’ils vont abandonner leur serment de ne jamais normaliser les relations avec Israël tant que les ambitions de leurs frères palestiniens pour un Etat ne sont pas concrétisées.

Alors qu’ils aspirent à l’étreinte chaleureuse du monde arabe modéré, les dirigeants israéliens oublient parfois la dure réalité. Par exemple, Yair Lapid ministre des Finances, a récemment cité le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Saoud al-Fayçal, appelant publiquement à la coéxistence avec Israël et dénonçant « la haine de l’Etat juif. » Le seul problème est qu’aucune déclaration de ce type n’a été prononcée.

La semaine dernière, la ministre de la Justice, Tzipi Livni, aurait rencontré à New York les principaux ministres de plusieurs pays arabes avec lesquels Israël n’entretient pas de relations diplomatiques. Cette information était probablement vraie, mais au moins un Etat arabe – le Koweït – a déjà nié que la réunion ait eu lieu.

Avec l’échec spectaculaire cette année des négociations de paix bilatérales avec les Palestiniens menées sous l’égide des Etats-Unis, et en particulier après le discours du « génocide » du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas la semaine dernière, il est compréhensible que Netanyahu aspire à une « nouvelle approche de nos voisins. »

Lundi à l’ONU, il a évoqué « le partenariat entre nous », comme s’il était déjà une réalité. Mais à ce stade, cela ne pourrait être un peu plus que des voeux pieux.


30/09/2014
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COMME LE MAROC, LE GOUVERNEMENT TUNISIEN INTENSIFIE SA LUTTE CONTRE LES DJIHADISTES

Source : i24news.tv via l'AFP en ligne le lundi 22 septembre 2014

 

 

 

La Tunisie relève son niveau d'alerte terroriste

 

 

 

Les autorités ont fait état à plusieurs reprises ces dernières semaines de menaces terroristes sérieuses

La Tunisie, qui a récemment fait état de menaces terroristes sérieuses à l'approche des élections prévues fin octobre, a décidé de relever le niveau d'alerte sur l'ensemble de son territoire, en particulier dans les régions frontalières.

Les autorités ont également annoncé la mort de deux hommes armés dans des heurts avec les forces de l'ordre dans le centre-ouest du pays.
Le Premier ministre Mehdi Jomaa a indiqué mardi soir dans un communiqué avoir décidé de relever le degré de vigilance et de préparation pour protéger les frontières et traquer la contrebande d'armes et l'infiltration de groupes terroristes.
Il a aussi décidé de relever le degré de vigilance sécuritaire sur tout le territoire, en particulier dans les régions frontalières, et de demander à l'armée d'intervenir dans les zones urbaines si nécessaire.
Les autorités tunisiennes ont fait état à plusieurs reprises ces dernières semaines de menaces terroristes sérieuses à l'approche des élections législatives et présidentielle, respectivement prévues les 26 octobre et 23 novembre.
Fin août, le ministre de l'Intérieur Lotfi Ben Jeddou avait annoncé l'unification des efforts des ministères de l'Intérieur et de la Défense, en particulier dans les zones de tension aux frontières avec l'Algérie où se trouvent les fiefs des terroristes.
Mercredi, les ministères de l'Intérieur et de la Défense ont fait état dans un communiqué de la mort dans la nuit de deux terroristes dans des heurts avec une patrouille commune de l'armée et de la Garde nationale (gendarmerie) dans le gouvernorat de Kasserine (centre-ouest).
Les deux hommes ne seraient pas tunisiens, selon les informations préliminaires du ministère de l'Intérieur, qui indique avoir saisi deux Kalachnikov, des munitions ainsi que des grenades qui étaient en leur possession.
La Tunisie a été profondément déstabilisée en 2013 par les assassinats de deux figures de l'opposition aux islamistes d'Ennahda, au pouvoir à l'époque.
Les autorités ne parviennent en outre pas à neutraliser des groupes djihadistes qui ont tué des dizaines de policiers et de militaires depuis la révolution de janvier 2011, en particulier à la frontière avec l'Algérie.

 


22/09/2014
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LE MAROC, PREMIER ETAT ARABE, A ELEVER SES MESURES DE SECURITE CONTRE LE DJIHADISME

Source : le site thetimesofisrael via l'AFP diffusée le vendredi 18 septembre 2014

 

Maroc :

 

le gouvernement renforce

sa législation antiterrorisme

 

Plus d’un millier de Marocains combattent ou ont combattu ces derniers mois en Syrie et en Irak

 
 
                        Le roi Mohammed VI (Crédit : domaine public/US State Department/Wikimedia commons)
 
 
Le gouvernement marocain a renforcé la législation antiterroriste du royaume en adoptant jeudi un projet de loi sur la lutte contre le djihadisme en Syrie et en Irak, notamment dans les rangs de l’organisation Etat islamique (EI), a annoncé le ministre de la Justice, Mustafa Ramid.

 

« Le projet de loi a été adopté en conseil de gouvernement dans le but de protéger nos jeunes, de les empêcher de se rendre dans des zones de guerre », a dit Ramid, à l’issue de cette réunion hebdomadaire.

 

« Toute personne qui cherche à rejoindre ces zones dangereuses sera poursuivie », a-t-il souligné.

Selon Rabat, plus d’un millier de Marocains combattent ou ont combattu ces derniers mois en Syrie et en Irak, et ce chiffre atteint même près de 3 000 en incluant les binationaux.

Alors que la législation antiterroriste du Maroc remonte au lendemain des attentats de Casablanca, en 2003, le projet de loi vise à « adapter l’arsenal juridique marocain à la nouvelle donne », selon le quotidienAujourd’hui Le Maroc.

Il comprend un nouvel article du code pénal prévoyant des poursuites contre quiconque « se rallie ou tente de se rallier individuellement ou collectivement (…) à des entités, organisations, bandes ou groupes terroristes », « même si les actes terroristes ne visent pas à porter préjudice au Maroc ou à ses intérêts ».

Le fait de prodiguer ou de recevoir une formation en vue de « commettre un acte de terrorisme » est aussi ciblé.

Un amendement au code de procédure pénale permet, lui, « de poursuivre également les terroristes étrangers » présents sur le sol marocain.

Les peines encourues sont de cinq à 15 ans de prison, avec des amendes allant de 4 500 à 500 000 euros, voire davantage dans le cas d’une « personne morale », selon la presse.

Outre ces mesures, le quotidien indépendant Akhbar al-Yaoum, citant des sources sécuritaires, a affirmé jeudi que le Maroc avait demandé à la Turquie d’imposer des visas pour les ressortissants du royaume arrivant dans ce pays frontalier de la Syrie.

Interrogé par la presse, le ministre et porte-parole Mustapha Khalfi n’a toutefois pas confirmé, faisant valoir que ce sujet n’avait « pas été discuté » en conseil de gouvernement.

Le Maroc a annoncé le démantèlement de plusieurs « cellules terroristes » au cours des derniers mois. Il dit craindre que des djihadistes marocains profitent de « l’expérience » acquise à l’étranger pour commettre des attentats dans leur pays.

A ce jour, « plus de 200 Marocains » ayant rejoint l’EI ont été arrêtés à leur retour au royaume, selon M. Ramid.


21/09/2014
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