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MON EDITO

Il fallait s'y attendre avec Roger Cuckierman à sa tête, une kipa met le feu poudre au sein du CRIF (Conseil Représentatif des Juis de France). Il n'en fallait pas moins. C'est un point gagné pour ceux qui n'attendaient que ce clash pour contester ouvertement la présidence d'un Cuckierman qui ne dissimule pas ni sa islamophobie, ni sa proximité avec le FN.

Le fait divers qui vient de se dérouler à Marseille, ville la plus cosmopolite après Paris où un membre de la communauté juive s'est fait agressé par un djihadiste originaire de Turquie a mis en éclat ce qui reste de ce CRIF minable et sans vraiment d'influence dans la sphère politique.

A Marseille, un juif a été visé par un acte à caractère antisémite. Un responsable du Consistoire de Marseille a appeler les Juifs de Marseille de se rendre dans la rue sans kippa. C'est alors dans une réaction faite sur la chaîne d'infos continues, BFM TV, le Patron d' une des deux institutions juives fait écrouler sa propre entreprise dont il ne veut en aucun cas en sortir. "Non, dit-il avec pugnacité, les juifs ne doivent pas se séparer de la kippa. Ne pas la quitter se serait rendre service à l'Islamisme!"  Il n'en fallait pas moins pour donner le dernier coup de grâce à cette mascarade communautaire déclenchée par Roger Cuckierman.

Le CRIF sous son mandat ajoute, ainsi à sa fin de vie, une division inter communautaire qui ne manquera pas d'avoir des répercussions dans ses structures et de diviser une communauté déjà bien au bord de la faillite.

Il serait bon enfin que ce CRIF sous la dictature de son maître se refasse une rapide cure de santé en se séparant de sa direction actuelle et de remettre en place une nouvelle structure et redonner une nouvelle vie. Une vie plus adaptée à l'avenir et au développement des Juifs de France.

Bernard Koch